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Bâtiments tertiaires : le photovoltaïque devient obligatoire, êtes-vous prêt ?

Une obligation s’installe discrètement dans le paysage réglementaire : l’installation de panneaux photovoltaïques devient incontournable sur les bâtiments tertiaires neufs ou rénovés. Qui est concerné ? Quelles stratégies adopter ?

8 juil. 2025

Temps de lecture :

4 min

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Un tournant réglementaire passé presque inaperçu

Alors que les obligations IRVE et les objectifs du décret tertiaire occupent le devant de la scène, une autre contrainte devient incontournable pour les bâtiments non résidentiels :

l’intégration du photovoltaïque dans tout projet de construction ou de rénovation lourde.

Depuis la loi Climat et Résilience (2021) et ses décrets d’application successifs (2023–2025), la production d’énergie solaire devient obligatoire sur de nombreux bâtiments tertiaires, selon leur surface, leur usage et la nature des travaux engagés.

Qui est concerné par cette obligation photovoltaïque ?

L’obligation s’applique dans plusieurs cas :

1. Bâtiments tertiaires neufs

Toute construction neuve à usage tertiaire de plus de :

  • 500 m² (zones tendues),

  • 1000 m² (zones détendues),

doit intégrer une production d’énergie renouvelable, en toiture ou en ombrière de parking.

Le photovoltaïque est le choix par défaut, car le plus facilement intégrable.

2. Rénovation importante ou extension

Un bâtiment existant tertiaire est concerné si les travaux prévoient :

  • Une rénovation énergétique globale,

  • Une réfection complète de toiture,

  • Ou une extension de plus de 1000 m².

L’ajout de panneaux devient alors obligatoire, sauf dérogation justifiée (structure, ombrage, risques patrimoniaux.

3. Parkings extérieurs de plus de 1500 m²

Depuis juillet 2023, les parkings extérieurs de cette taille doivent intégrer des ombrières solaires ou produire une justification de non-faisabilité.

Pourquoi cette obligation s’accélère en 2025 ?

  • La PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Énergie) exige une montée en puissance rapide du solaire en France :

    +10 GW d’ici 2026, +20 GW d’ici 2030.

  • Le parc tertiaire représente un potentiel immense : grandes toitures, surfaces peu exploitées, consommation diurne.

  • La stratégie bas carbone impose aux entreprises de justifier leurs efforts RSE et de réduire leur dépendance au réseau, surtout en période de tension énergétique.

Une obligation… mais aussi une opportunité stratégique

 1. Réduction immédiate des factures énergétiques

L’électricité solaire produite en journée est consommée sur place : climatisation, éclairage, informatique…

→ En autoconsommation, le retour sur investissement se situe entre 7 et 10 ans dans la majorité des cas.

 2. Valorisation de l’image RSE

Intégrer une centrale photovoltaïque devient un argument de valorisation pour les investisseurs, les bailleurs, les enseignes et les occupants.

→ Conformité aux critères ESG (environnementaux, sociaux, gouvernance),

→ Meilleure notation extra-financière pour les groupes cotés,

→ Critère favorable dans les appels d’offres publics.

 3. Anticipation réglementaire

Ne pas intégrer de photovoltaïque dans un projet tertiaire risque de bloquer le permis de construire ou d’exposer à des amendes futures.

→ Anticiper = gain de temps, de légitimité et de crédibilité.

Quelles solutions pour répondre à l’obligation ?

1. Intégration directe dans la toiture

Pose classique sur bac acier ou charpente renforcée.

→ Idéal pour bâtiments neufs, rénovations lourdes, hangars logistiques.

2. Ombrières photovoltaïques sur parking

Très demandées dans les secteurs de la grande distribution, de la santé ou du tertiaire administratif.

→ Double usage : production + confort thermique + réduction îlot de chaleur.

3. Photovoltaïque en façade ou structure secondaire

Solution plus coûteuse mais intéressante pour les bâtiments urbains à toiture complexe ou orientée nord.

→ Peut répondre aux exigences tout en servant de signal architectural ou d’identité visuelle.

Les pièges à éviter

  • Sous-estimer les délais administratifs : autorisations, raccordement, études de structure.

  • Négliger la conformité technique : orientation, ombrage, normes d’intégration au bâti.

  • Attendre la dernière minute : les installateurs certifiés sont déjà sous tension, surtout dans les zones denses.

Quel rôle pour les professionnels de la rénovation, de l’ingénierie et de l’électricité ?

Ce nouveau cadre réglementaire rebat les cartes pour :

  • Les bureaux d’études, qui doivent intégrer le photovoltaïque dès la phase esquisse,

  • Les entreprises générales ou RGE, qui peuvent élargir leur offre à l’intégration solaire,

  • Les installateurs IRVE, qui ont intérêt à proposer IRVE + PV + pilotage énergétique sur les mêmes sites,

  • Les collectivités, qui doivent mettre à jour leur stratégie immobilière, notamment dans le scolaire et l’administratif.


ila26 vous aider à intégrer le solaire dans vos projets tertiaires

Avec ila26, vous pouvez :

  • Identifier les projets soumis à l’obligation photovoltaïque,

  • Générer des devis intégrant production, IRVE, pilotage et CEE,

  • Coordonner les partenaires (bureaux d’études, superviseurs, fournisseurs de panneaux),

  • Centraliser les aides locales (régionales, ADEME, Europe, etc.),

  • Suivre les performances énergétiques sur la durée (intégration OPERAT, suivi des objectifs décret tertiaire).

Conclusion : obligation ou levier stratégique ?

Le photovoltaïque n’est plus un “plus produit”.

C’est une brique incontournable dans la stratégie énergétique des bâtiments tertiaires.

Les professionnels capables d’en faire un levier de performance, de valorisation et de simplification réglementaire seront les mieux positionnés sur un marché en mutation

Un tournant réglementaire passé presque inaperçu

Alors que les obligations IRVE et les objectifs du décret tertiaire occupent le devant de la scène, une autre contrainte devient incontournable pour les bâtiments non résidentiels :

l’intégration du photovoltaïque dans tout projet de construction ou de rénovation lourde.

Depuis la loi Climat et Résilience (2021) et ses décrets d’application successifs (2023–2025), la production d’énergie solaire devient obligatoire sur de nombreux bâtiments tertiaires, selon leur surface, leur usage et la nature des travaux engagés.

Qui est concerné par cette obligation photovoltaïque ?

L’obligation s’applique dans plusieurs cas :

1. Bâtiments tertiaires neufs

Toute construction neuve à usage tertiaire de plus de :

  • 500 m² (zones tendues),

  • 1000 m² (zones détendues),

doit intégrer une production d’énergie renouvelable, en toiture ou en ombrière de parking.

Le photovoltaïque est le choix par défaut, car le plus facilement intégrable.

2. Rénovation importante ou extension

Un bâtiment existant tertiaire est concerné si les travaux prévoient :

  • Une rénovation énergétique globale,

  • Une réfection complète de toiture,

  • Ou une extension de plus de 1000 m².

L’ajout de panneaux devient alors obligatoire, sauf dérogation justifiée (structure, ombrage, risques patrimoniaux.

3. Parkings extérieurs de plus de 1500 m²

Depuis juillet 2023, les parkings extérieurs de cette taille doivent intégrer des ombrières solaires ou produire une justification de non-faisabilité.

Pourquoi cette obligation s’accélère en 2025 ?

  • La PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Énergie) exige une montée en puissance rapide du solaire en France :

    +10 GW d’ici 2026, +20 GW d’ici 2030.

  • Le parc tertiaire représente un potentiel immense : grandes toitures, surfaces peu exploitées, consommation diurne.

  • La stratégie bas carbone impose aux entreprises de justifier leurs efforts RSE et de réduire leur dépendance au réseau, surtout en période de tension énergétique.

Une obligation… mais aussi une opportunité stratégique

 1. Réduction immédiate des factures énergétiques

L’électricité solaire produite en journée est consommée sur place : climatisation, éclairage, informatique…

→ En autoconsommation, le retour sur investissement se situe entre 7 et 10 ans dans la majorité des cas.

 2. Valorisation de l’image RSE

Intégrer une centrale photovoltaïque devient un argument de valorisation pour les investisseurs, les bailleurs, les enseignes et les occupants.

→ Conformité aux critères ESG (environnementaux, sociaux, gouvernance),

→ Meilleure notation extra-financière pour les groupes cotés,

→ Critère favorable dans les appels d’offres publics.

 3. Anticipation réglementaire

Ne pas intégrer de photovoltaïque dans un projet tertiaire risque de bloquer le permis de construire ou d’exposer à des amendes futures.

→ Anticiper = gain de temps, de légitimité et de crédibilité.

Quelles solutions pour répondre à l’obligation ?

1. Intégration directe dans la toiture

Pose classique sur bac acier ou charpente renforcée.

→ Idéal pour bâtiments neufs, rénovations lourdes, hangars logistiques.

2. Ombrières photovoltaïques sur parking

Très demandées dans les secteurs de la grande distribution, de la santé ou du tertiaire administratif.

→ Double usage : production + confort thermique + réduction îlot de chaleur.

3. Photovoltaïque en façade ou structure secondaire

Solution plus coûteuse mais intéressante pour les bâtiments urbains à toiture complexe ou orientée nord.

→ Peut répondre aux exigences tout en servant de signal architectural ou d’identité visuelle.

Les pièges à éviter

  • Sous-estimer les délais administratifs : autorisations, raccordement, études de structure.

  • Négliger la conformité technique : orientation, ombrage, normes d’intégration au bâti.

  • Attendre la dernière minute : les installateurs certifiés sont déjà sous tension, surtout dans les zones denses.

Quel rôle pour les professionnels de la rénovation, de l’ingénierie et de l’électricité ?

Ce nouveau cadre réglementaire rebat les cartes pour :

  • Les bureaux d’études, qui doivent intégrer le photovoltaïque dès la phase esquisse,

  • Les entreprises générales ou RGE, qui peuvent élargir leur offre à l’intégration solaire,

  • Les installateurs IRVE, qui ont intérêt à proposer IRVE + PV + pilotage énergétique sur les mêmes sites,

  • Les collectivités, qui doivent mettre à jour leur stratégie immobilière, notamment dans le scolaire et l’administratif.


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Le photovoltaïque n’est plus un “plus produit”.

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