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Taxe foncière et travaux, utilisez cet argument pour conclure vos ventes
Certains travaux de rénovation énergétique permettent une exonération temporaire ou un gel de la taxe foncière. Apprenez à transformer cet avantage fiscal en argument de vente concret pour vos clients.
8 juil. 2025
Temps de lecture :
5 min
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Un levier fiscal méconnu, mais redoutablement efficace
Quand on parle de rénovation énergétique, la discussion tourne souvent autour des aides classiques : MaPrimeRénov’, CEE, dispositifs régionaux. Mais un argument reste trop peu utilisé par les pros : l’impact fiscal sur la taxe foncière.
Et pourtant, en 2025, c’est un levier psychologique puissant, surtout dans un climat d’inflation et de hausse des impôts locaux. Un client hésite à signer ? Lui montrer que ses travaux peuvent lui faire gagner 500 à 1 000 € sur 3 ans change souvent la donne.
La fiscalité locale n’est pas réservée aux fiscalistes. Elle peut, bien utilisée, aider un artisan ou une PME à convertir un devis en contrat.
Non, tous les travaux ne font pas grimper la taxe foncière
Beaucoup de clients croient que rénover = payer plus. Faux.
Certains travaux — et en particulier ceux liés à la performance énergétique — peuvent :
Geler la base de calcul de la taxe foncière
Donner droit à une exonération temporaire de 3 ans
Être considérés comme non “valorisants fiscalement” s’ils n’ajoutent pas de surface
L’essentiel, c’est de savoir quand, où et comment présenter ces éléments dans la vente.
Les 3 dispositifs fiscaux à connaître en 2025
1. L’exonération temporaire de 50 à 100 %
De nombreuses communes ont voté un abattement sur la taxe foncière en cas de rénovation énergétique significative. En 2025, environ 1 commune sur 4 l’applique.
Conditions classiques :
Logement de plus de 15 ans
Travaux aidés (MaPrimeRénov’, ANAH, CEE)
Dossier complet avec déclaration préalable ou permis
Dépenses supérieures à un seuil défini localement (souvent entre 10 000 et 20 000 €)
Durée : 3 ans (renouvelable dans certains cas, notamment pour les bailleurs).
Cette exonération est décidée au niveau communal, donc variable. Mais quand elle existe, elle fait mouche chez les clients.
2. Le gel de la valeur locative après travaux
Contrairement aux idées reçues, la valeur locative ne grimpe pas toujours après rénovation.
Si les travaux concernent uniquement la performance énergétique (ex : isolation par l’extérieur, remplacement de chaudière, VMC double flux), sans création de surface ou changement d’usage, la base de la taxe foncière reste souvent inchangée.
Autrement dit : le logement est amélioré, mais le fisc ne revalorise pas immédiatement.
Pour un propriétaire, c’est un double gain : plus de confort, plus de valeur… sans hausse immédiate d’impôt.
3. Le dégrèvement en cas d’inoccupation pendant travaux lourds
Peu de pros en parlent, mais c’est une réalité :
Un logement inhabitable pendant des travaux peut obtenir un allègement temporaire de taxe foncière.
Le propriétaire doit prouver :
L’inoccupation (factures, arrêt de consommation)
La durée des travaux
La nature des rénovations (énergétiques ou structurelles)
Ce dispositif peut faire économiser plusieurs centaines d’euros sur une seule année. Et pour certains profils de clients, c’est suffisant pour valider un chantier complet.
Comment utiliser cet argument dans votre vente
Il ne suffit pas d’évoquer la fiscalité en fin de conversation. Pour que l’argument fonctionne, il faut l’intégrer dans une logique claire et adaptée au profil du client.
À qui s’adresse cet argument ?
Propriétaires occupants en résidence principale
Bailleurs privés avec un parc ancien
Clients hésitants pour des raisons budgétaires (trésorerie, long terme)
Candidats à MaPrimeRénov’ ou à l’éco-PTZ
Quand le placer dans l’échange ?
Juste après avoir expliqué les aides classiques. Par exemple :
“En plus de MaPrimeRénov’ et des CEE, il est possible que votre commune accorde une exonération de taxe foncière pour ce type de travaux. On peut vérifier ensemble.”
C’est un levier de réassurance. Et dans les ventes complexes, c’est souvent ce qui fait la différence.
Donnez des preuves, pas des promesses
Pour que l’argument porte, vous devez pouvoir :
Montrer une source officielle (site des impôts, lien vers la délibération communale)
Joindre une fiche explicative avec le devis
Accompagner le client dans la déclaration H1 ou H2 (formulaire fiscal à remplir après travaux)
Ce que vous y gagnez, en tant que pro
Mettre en avant ce levier fiscal vous permet :
De renforcer votre position d’expert global (technique + administratif + fiscal)
De vous différencier de la concurrence, qui reste souvent focalisée sur les aides connues
D’apporter une valeur ajoutée perçue, essentielle pour faire accepter un devis plus cher mais mieux argumenté
Un artisan qui sait parler fiscalité, c’est rare. Et dans un secteur où la méfiance grandit, cela inspire confiance.
Comment ila26 vous facilite l’usage de cet argument
Notre plateforme vous permet de :
Identifier les communes qui appliquent une exonération de taxe foncière
Générer des modèles de courriers ou de fiches explicatives à remettre au client
Suivre l’impact post-travaux dans votre CRM (montant économisé, date d’exonération)
Intégrer cet avantage dans vos outils de vente ou vos documents types
L’objectif est simple : transformer cette info fiscale en déclencheur commercial.
Conclusion : la fiscalité locale, un levier émotionnel… et rentable
La taxe foncière est un sujet sensible. Tout le monde la paie. Tout le monde la voit augmenter.
Dire à un client qu’il peut l’éviter pendant 3 ans grâce à ses travaux, c’est lui parler concrètement, au portefeuille.
C’est aussi changer sa vision du chantier :
👉 Ce n’est plus une dépense. C’est un investissement fiscalement optimisé.
Et c’est exactement ce qu’attendent les clients en 2025 : du concret, du solide, du mesurable.
Un levier fiscal méconnu, mais redoutablement efficace
Quand on parle de rénovation énergétique, la discussion tourne souvent autour des aides classiques : MaPrimeRénov’, CEE, dispositifs régionaux. Mais un argument reste trop peu utilisé par les pros : l’impact fiscal sur la taxe foncière.
Et pourtant, en 2025, c’est un levier psychologique puissant, surtout dans un climat d’inflation et de hausse des impôts locaux. Un client hésite à signer ? Lui montrer que ses travaux peuvent lui faire gagner 500 à 1 000 € sur 3 ans change souvent la donne.
La fiscalité locale n’est pas réservée aux fiscalistes. Elle peut, bien utilisée, aider un artisan ou une PME à convertir un devis en contrat.
Non, tous les travaux ne font pas grimper la taxe foncière
Beaucoup de clients croient que rénover = payer plus. Faux.
Certains travaux — et en particulier ceux liés à la performance énergétique — peuvent :
Geler la base de calcul de la taxe foncière
Donner droit à une exonération temporaire de 3 ans
Être considérés comme non “valorisants fiscalement” s’ils n’ajoutent pas de surface
L’essentiel, c’est de savoir quand, où et comment présenter ces éléments dans la vente.
Les 3 dispositifs fiscaux à connaître en 2025
1. L’exonération temporaire de 50 à 100 %
De nombreuses communes ont voté un abattement sur la taxe foncière en cas de rénovation énergétique significative. En 2025, environ 1 commune sur 4 l’applique.
Conditions classiques :
Logement de plus de 15 ans
Travaux aidés (MaPrimeRénov’, ANAH, CEE)
Dossier complet avec déclaration préalable ou permis
Dépenses supérieures à un seuil défini localement (souvent entre 10 000 et 20 000 €)
Durée : 3 ans (renouvelable dans certains cas, notamment pour les bailleurs).
Cette exonération est décidée au niveau communal, donc variable. Mais quand elle existe, elle fait mouche chez les clients.
2. Le gel de la valeur locative après travaux
Contrairement aux idées reçues, la valeur locative ne grimpe pas toujours après rénovation.
Si les travaux concernent uniquement la performance énergétique (ex : isolation par l’extérieur, remplacement de chaudière, VMC double flux), sans création de surface ou changement d’usage, la base de la taxe foncière reste souvent inchangée.
Autrement dit : le logement est amélioré, mais le fisc ne revalorise pas immédiatement.
Pour un propriétaire, c’est un double gain : plus de confort, plus de valeur… sans hausse immédiate d’impôt.
3. Le dégrèvement en cas d’inoccupation pendant travaux lourds
Peu de pros en parlent, mais c’est une réalité :
Un logement inhabitable pendant des travaux peut obtenir un allègement temporaire de taxe foncière.
Le propriétaire doit prouver :
L’inoccupation (factures, arrêt de consommation)
La durée des travaux
La nature des rénovations (énergétiques ou structurelles)
Ce dispositif peut faire économiser plusieurs centaines d’euros sur une seule année. Et pour certains profils de clients, c’est suffisant pour valider un chantier complet.
Comment utiliser cet argument dans votre vente
Il ne suffit pas d’évoquer la fiscalité en fin de conversation. Pour que l’argument fonctionne, il faut l’intégrer dans une logique claire et adaptée au profil du client.
À qui s’adresse cet argument ?
Propriétaires occupants en résidence principale
Bailleurs privés avec un parc ancien
Clients hésitants pour des raisons budgétaires (trésorerie, long terme)
Candidats à MaPrimeRénov’ ou à l’éco-PTZ
Quand le placer dans l’échange ?
Juste après avoir expliqué les aides classiques. Par exemple :
“En plus de MaPrimeRénov’ et des CEE, il est possible que votre commune accorde une exonération de taxe foncière pour ce type de travaux. On peut vérifier ensemble.”
C’est un levier de réassurance. Et dans les ventes complexes, c’est souvent ce qui fait la différence.
Donnez des preuves, pas des promesses
Pour que l’argument porte, vous devez pouvoir :
Montrer une source officielle (site des impôts, lien vers la délibération communale)
Joindre une fiche explicative avec le devis
Accompagner le client dans la déclaration H1 ou H2 (formulaire fiscal à remplir après travaux)
Ce que vous y gagnez, en tant que pro
Mettre en avant ce levier fiscal vous permet :
De renforcer votre position d’expert global (technique + administratif + fiscal)
De vous différencier de la concurrence, qui reste souvent focalisée sur les aides connues
D’apporter une valeur ajoutée perçue, essentielle pour faire accepter un devis plus cher mais mieux argumenté
Un artisan qui sait parler fiscalité, c’est rare. Et dans un secteur où la méfiance grandit, cela inspire confiance.
Comment ila26 vous facilite l’usage de cet argument
Notre plateforme vous permet de :
Identifier les communes qui appliquent une exonération de taxe foncière
Générer des modèles de courriers ou de fiches explicatives à remettre au client
Suivre l’impact post-travaux dans votre CRM (montant économisé, date d’exonération)
Intégrer cet avantage dans vos outils de vente ou vos documents types
L’objectif est simple : transformer cette info fiscale en déclencheur commercial.
Conclusion : la fiscalité locale, un levier émotionnel… et rentable
La taxe foncière est un sujet sensible. Tout le monde la paie. Tout le monde la voit augmenter.
Dire à un client qu’il peut l’éviter pendant 3 ans grâce à ses travaux, c’est lui parler concrètement, au portefeuille.
C’est aussi changer sa vision du chantier :
👉 Ce n’est plus une dépense. C’est un investissement fiscalement optimisé.
Et c’est exactement ce qu’attendent les clients en 2025 : du concret, du solide, du mesurable.
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