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IRVE en copropriété, la méthode gagnante pour faire signer les syndics

En 2025, le marché des bornes de recharge en copropriété décolle. Découvrez comment convaincre les syndics, structurer vos offres et sécuriser vos marges.

2 sept. 2025

Temps de lecture :

3 min

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Un marché en pleine accélération

En 2025, la mobilité électrique transforme les parkings collectifs en un enjeu stratégique. Près de 30 % des copropriétés françaises ont déjà initié un projet IRVE (source : Advenir), mais seuls un tiers arrivent à leur terme.

Pour les installateurs, ces chantiers représentent bien plus que la pose de bornes :

  • Des volumes importants (plusieurs dizaines de points de charge).

  • Des contrats d’entretien pluriannuels.

  • Une visibilité accrue grâce au bouche-à-oreille entre copropriétaires.

Mais la réalité est claire : la technique seule ne suffit pas. Le succès se joue sur votre capacité à rassurer les syndics et à guider le processus du premier contact jusqu’au vote en assemblée générale (AG).

Identifier les freins avant qu’ils ne bloquent le projet

Les syndics n’acceptent pas facilement un projet IRVE. Les refus viennent souvent de trois causes principales.

Le frein technique : absence d’anticipation sur les besoins futurs.

La plupart des refus viennent de trois obstacles majeurs :

1. Frein technique – manque d’anticipation

Exemple concret : un projet à Marseille a été rejeté en 2024 car l’étude initiale n’avait pas intégré la future climatisation collective, ce qui aurait saturé le réseau électrique.

Solution : toujours proposer un diagnostic intégrant une projection sur 10 ans avec une marge de puissance disponible pour d’éventuelles évolutions (pompes à chaleur, V2G, etc.).

2. Frein financier – perception du coût

Beaucoup de syndics comparent uniquement le prix global, sans analyser le coût par borne installée. Or :

  • Droit à la prise individuel : ~2 500 € par borne.

  • Projet collectif pré-équipé (20 bornes) : ~1 100 € par borne.

    Mettre en avant cette économie dans vos supports permet de retourner une objection en argument.

3. Frein décisionnel – complexité des démarches

La lourdeur administrative décourage souvent les syndics. Fournir un schéma clair :

Plus de 30 % des copropriétaires favorables → vote en AG → pré-équipement global → branchements échelonnés.

Maîtriser le cadre légal et les aides 2025

Le droit à la prise donne à tout copropriétaire la possibilité de demander l’installation d’une borne, sauf impossibilité technique prouvée par le syndic. Mais dans les faits, un projet collectif est plus intéressant : il évite les câblages multiples et assure une cohérence technique.

En 2025, plusieurs aides facilitent le financement :

  • Advenir : jusqu’à 1 650 € par borne (50 % du coût éligible) pour un pré-équipement collectif.

  • CEE : environ 200 € par borne si gestion dynamique de la charge.

  • TVA réduite : 5,5 % sur les travaux en résidence principale.

Depuis 2024, les compteurs individuels certifiés MID sont obligatoires, et les bornes doivent respecter les normes IRVE pour la sécurité.

Structurer une offre qui inspire confiance

Pour convaincre un syndic, votre proposition doit être plus qu’un devis. C’est un dossier complet qui montre que vous avez pensé à tout.

Incluez :

  • un diagnostic électrique complet,

  • un plan technique clair et visuel (schéma ou 3D),

  • un budget détaillé avec les aides déduites,

  • la liste des garanties et des services après-vente,

  • les obligations légales respectées.

Astuce : un dossier clair réduit le risque de comparaisons uniquement basées sur le prix, et renforce votre position face aux offres low-cost.

La démarche commerciale efficace en 5 étapes 

1. Ciblage précis

Repérez les copropriétés de plus de 50 lots grâce à des bases publiques comme data.gouv.fr. Ce sont souvent les projets les plus rentables.

2. Argumentation adaptée

Les données locales parlent plus qu’une moyenne nationale. Dire à un conseil syndical parisien que 58 % des copropriétés déjà équipées ont vu la valeur de leurs biens augmenter est plus percutant qu’un chiffre global.

3. Support visuel engageant 

Utilisez des simulations 3D ou des photos avant/après pour projeter les décideurs dans le résultat final.

4. Accompagnement au vote en AG

Préparez un discours clair pour l’AG. Par exemple :

“Ce projet coûte 40 €/mois sur 5 ans, moins qu’une place de parking louée dans le quartier.”

5. Suivi après-vente

Proposez un kit de communication aux résidents : affiches, mails types, tutoriels d’utilisation. Un suivi de qualité favorise les recommandations et les extensions de projet.

Les solutions techniques différenciantes

En 2025, la technique est aussi un argument commercial. Les syndics cherchent des solutions fiables et évolutives.

  • Gestion dynamique de charge : permet de limiter la puissance appelée et d’éviter un coûteux remplacement de transformateur.

  • Bornes V2G : prêtes pour l’injection d’énergie vers le réseau, anticipation des futurs usages.

  • Systèmes évolutifs : pré-câblage complet avec possibilité d’installer les bornes au fur et à mesure des demandes

Solutions techniques différenciantes

  • Gestion dynamique de charge : réduit les coûts en évitant le renforcement du transformateur.

  • Bornes V2G : prêtes pour la réinjection d’énergie vers le réseau.

  • Systèmes évolutifs : pré-câblage complet pour ajouter des bornes progressivement.

Erreurs fréquentes à éviter

  • Oublier d’anticiper les besoins futurs (ex : pompes à chaleur, véhicules lourds).

  • Sous-estimer le rôle pédagogique auprès des conseils syndicaux.

  • Présenter un devis sans aides déduites, ce qui donne une impression de coût trop élevé.

  • Négliger la communication post-installation, alors qu’elle est clé pour éviter les incompréhensions.

Pourquoi agir maintenant

Trois raisons principales rendent ce marché particulièrement porteur en 2025 :

  1. Croissance continue : +35 % de projets IRVE en copropriété par rapport à 2024.

  2. Transition réglementaire : fin programmée des véhicules thermiques et objectifs CO₂ renforcés.

  3. Valorisation immobilière : un parking équipé IRVE augmente l’attractivité d’un bien.

Les installateurs qui s’implantent maintenant prennent une longueur d’avance et deviennent les interlocuteurs naturels des syndics pour les années à venir.

Conclusion

En copropriété, la réussite d’un projet IRVE repose sur la pédagogie, la transparence et l’anticipation.

Les installateurs qui savent combiner expertise technique, accompagnement administratif et communication claire sont ceux qui signeront le plus de chantiers.

En 2025, votre avantage concurrentiel ne se jouera pas seulement sur le prix, mais sur votre capacité à transformer une idée en installation concrète, sans conflit ni surcoût.

 

Un marché en pleine accélération

En 2025, la mobilité électrique transforme les parkings collectifs en un enjeu stratégique. Près de 30 % des copropriétés françaises ont déjà initié un projet IRVE (source : Advenir), mais seuls un tiers arrivent à leur terme.

Pour les installateurs, ces chantiers représentent bien plus que la pose de bornes :

  • Des volumes importants (plusieurs dizaines de points de charge).

  • Des contrats d’entretien pluriannuels.

  • Une visibilité accrue grâce au bouche-à-oreille entre copropriétaires.

Mais la réalité est claire : la technique seule ne suffit pas. Le succès se joue sur votre capacité à rassurer les syndics et à guider le processus du premier contact jusqu’au vote en assemblée générale (AG).

Identifier les freins avant qu’ils ne bloquent le projet

Les syndics n’acceptent pas facilement un projet IRVE. Les refus viennent souvent de trois causes principales.

Le frein technique : absence d’anticipation sur les besoins futurs.

La plupart des refus viennent de trois obstacles majeurs :

1. Frein technique – manque d’anticipation

Exemple concret : un projet à Marseille a été rejeté en 2024 car l’étude initiale n’avait pas intégré la future climatisation collective, ce qui aurait saturé le réseau électrique.

Solution : toujours proposer un diagnostic intégrant une projection sur 10 ans avec une marge de puissance disponible pour d’éventuelles évolutions (pompes à chaleur, V2G, etc.).

2. Frein financier – perception du coût

Beaucoup de syndics comparent uniquement le prix global, sans analyser le coût par borne installée. Or :

  • Droit à la prise individuel : ~2 500 € par borne.

  • Projet collectif pré-équipé (20 bornes) : ~1 100 € par borne.

    Mettre en avant cette économie dans vos supports permet de retourner une objection en argument.

3. Frein décisionnel – complexité des démarches

La lourdeur administrative décourage souvent les syndics. Fournir un schéma clair :

Plus de 30 % des copropriétaires favorables → vote en AG → pré-équipement global → branchements échelonnés.

Maîtriser le cadre légal et les aides 2025

Le droit à la prise donne à tout copropriétaire la possibilité de demander l’installation d’une borne, sauf impossibilité technique prouvée par le syndic. Mais dans les faits, un projet collectif est plus intéressant : il évite les câblages multiples et assure une cohérence technique.

En 2025, plusieurs aides facilitent le financement :

  • Advenir : jusqu’à 1 650 € par borne (50 % du coût éligible) pour un pré-équipement collectif.

  • CEE : environ 200 € par borne si gestion dynamique de la charge.

  • TVA réduite : 5,5 % sur les travaux en résidence principale.

Depuis 2024, les compteurs individuels certifiés MID sont obligatoires, et les bornes doivent respecter les normes IRVE pour la sécurité.

Structurer une offre qui inspire confiance

Pour convaincre un syndic, votre proposition doit être plus qu’un devis. C’est un dossier complet qui montre que vous avez pensé à tout.

Incluez :

  • un diagnostic électrique complet,

  • un plan technique clair et visuel (schéma ou 3D),

  • un budget détaillé avec les aides déduites,

  • la liste des garanties et des services après-vente,

  • les obligations légales respectées.

Astuce : un dossier clair réduit le risque de comparaisons uniquement basées sur le prix, et renforce votre position face aux offres low-cost.

La démarche commerciale efficace en 5 étapes 

1. Ciblage précis

Repérez les copropriétés de plus de 50 lots grâce à des bases publiques comme data.gouv.fr. Ce sont souvent les projets les plus rentables.

2. Argumentation adaptée

Les données locales parlent plus qu’une moyenne nationale. Dire à un conseil syndical parisien que 58 % des copropriétés déjà équipées ont vu la valeur de leurs biens augmenter est plus percutant qu’un chiffre global.

3. Support visuel engageant 

Utilisez des simulations 3D ou des photos avant/après pour projeter les décideurs dans le résultat final.

4. Accompagnement au vote en AG

Préparez un discours clair pour l’AG. Par exemple :

“Ce projet coûte 40 €/mois sur 5 ans, moins qu’une place de parking louée dans le quartier.”

5. Suivi après-vente

Proposez un kit de communication aux résidents : affiches, mails types, tutoriels d’utilisation. Un suivi de qualité favorise les recommandations et les extensions de projet.

Les solutions techniques différenciantes

En 2025, la technique est aussi un argument commercial. Les syndics cherchent des solutions fiables et évolutives.

  • Gestion dynamique de charge : permet de limiter la puissance appelée et d’éviter un coûteux remplacement de transformateur.

  • Bornes V2G : prêtes pour l’injection d’énergie vers le réseau, anticipation des futurs usages.

  • Systèmes évolutifs : pré-câblage complet avec possibilité d’installer les bornes au fur et à mesure des demandes

Solutions techniques différenciantes

  • Gestion dynamique de charge : réduit les coûts en évitant le renforcement du transformateur.

  • Bornes V2G : prêtes pour la réinjection d’énergie vers le réseau.

  • Systèmes évolutifs : pré-câblage complet pour ajouter des bornes progressivement.

Erreurs fréquentes à éviter

  • Oublier d’anticiper les besoins futurs (ex : pompes à chaleur, véhicules lourds).

  • Sous-estimer le rôle pédagogique auprès des conseils syndicaux.

  • Présenter un devis sans aides déduites, ce qui donne une impression de coût trop élevé.

  • Négliger la communication post-installation, alors qu’elle est clé pour éviter les incompréhensions.

Pourquoi agir maintenant

Trois raisons principales rendent ce marché particulièrement porteur en 2025 :

  1. Croissance continue : +35 % de projets IRVE en copropriété par rapport à 2024.

  2. Transition réglementaire : fin programmée des véhicules thermiques et objectifs CO₂ renforcés.

  3. Valorisation immobilière : un parking équipé IRVE augmente l’attractivité d’un bien.

Les installateurs qui s’implantent maintenant prennent une longueur d’avance et deviennent les interlocuteurs naturels des syndics pour les années à venir.

Conclusion

En copropriété, la réussite d’un projet IRVE repose sur la pédagogie, la transparence et l’anticipation.

Les installateurs qui savent combiner expertise technique, accompagnement administratif et communication claire sont ceux qui signeront le plus de chantiers.

En 2025, votre avantage concurrentiel ne se jouera pas seulement sur le prix, mais sur votre capacité à transformer une idée en installation concrète, sans conflit ni surcoût.

 

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