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MaPrimeRénov’ 2025 : les territoires où la rénovation reste rentable

Malgré la suspension de MaPrimeRénov’ en juillet 2025, certains territoires restent très favorables à la rénovation énergétique. Quels sont-ils ? Pourquoi les pros doivent-ils y concentrer leurs efforts ?

24 juin 2025

Temps de lecture :

7 min

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Un contexte national de plus en plus tendu

L’annonce de la suspension de MaPrimeRénov’ au 1er juillet 2025 a secoué l’ensemble du secteur de la rénovation.

Avec un budget national déjà épuisé à mi-année, les artisans et entreprises RGE craignent une chute brutale de l’activité, notamment dans les zones périurbaines et rurales.

Mais la situation n’est pas homogène partout. Certaines collectivités et territoires ont :

  • Anticipé le désengagement de l’État,


  • Conservé des aides locales ou régionales dynamiques,


  • Mis en place des mécanismes relais (bonus, tiers-financement, appuis techniques).


Des zones où la rénovation reste rentable en 2025

1. Les régions les plus engagées : un effet amortisseur

Certaines régions comme l’Occitanie, les Hauts-de-France, ou l’Île-de-France ont mis en place :

  • Des aides cumulables avec MaPrimeRénov’ et les CEE,


  • Des primes régionales propres (pour rénovation globale, précarité énergétique, copropriétés),


  • Des partenariats avec l’Anah et les plateformes locales (France Rénov’, ALEC…).


 Pour les professionnels, cela signifie :

  • Des devis toujours compétitifs malgré la suspension nationale,


  • Une activité maintenue grâce aux relais locaux,


  • Moins de pression sur les marges.


2. Les zones ANRU et quartiers prioritaires

Les logements situés dans des Zones de Revitalisation Urbaine (ZRU) ou classés ANRU bénéficient souvent :

  • De majorations automatiques sur les CEE,


  • De parcours simplifiés avec Mon Accompagnateur Rénov’,


  • D’aides complémentaires via les collectivités ou les bailleurs sociaux.


C’est dans ces territoires que l’on observe les meilleurs taux de reste à charge zéro, avec une rénovation qui reste socialement utile et économiquement viable.

3. Les territoires à énergie positive ou en TEPOS

Les Territoires à Énergie Positive (TEPOS) et les communes labellisées “Petites Villes de Demain” ont :

  • Intégré la rénovation énergétique dans leurs stratégies globales,


  • Déployé des dispositifs de tiers-investissement,


  • Activé des fonds européens (FEDER, LEADER) ou régionaux.


   Cela crée un écosystème favorable aux artisans locaux, notamment sur des chantiers collectifs ou publics (bâtiments communaux, logements sociaux, etc.).

Ce que cela change concrètement pour les professionnels

1. Une stratégie géographique devient indispensable

Les entreprises du secteur ne peuvent plus se contenter d’une approche uniforme.

Il devient essentiel de :

  • Cibler les zones où l’écosystème d’aides reste actif,


  • Prioriser les chantiers dans les territoires soutenus par les collectivités,


  • Nouer des partenariats territoriaux (ALEC, mairies, EPCI…).


2. L’offre “MaPrimeRénov’ classique” ne suffit plus

Le devis “PAC + aide MaPrimeRénov’ + CEE” standardisé montre ses limites.

Place à des offres plus adaptables :

  • Rénovation globale en copropriétés,


  • Audit énergétique + phasage des travaux,


  • Location-vente d’équipements ou offres de tiers financement.


3. La rentabilité se construit sur plusieurs leviers

Aujourd’hui, une opération reste rentable si elle cumule :

  • CEE bonifiés,


  • Aides régionales ou locales,


  • Réduction du reste à charge grâce à des montages innovants,


  • Accompagnement fluide (accompagnateur, outils numériques, etc.).


Un enjeu politique sous-jacent : l’inégalité des territoires face à la transition

Le débat que cette situation soulève est plus large :

Peut-on encore parler de politique nationale de rénovation si son efficacité varie autant selon le code postal ?

Les disparités territoriales posent plusieurs problèmes :

  • Accès inégal aux rénovations performantes,


  • Fracture énergétique renforcée entre zones urbaines soutenues et campagnes isolées,


  • Incohérence stratégique face aux objectifs climatiques nationaux.


Ce sont les artisans et entreprises RGE qui subissent ce décalage au quotidien, avec parfois des carnets de commandes pleins dans une commune et vides dans celle d’à côté.

Le rôle d’ila26 : aider à cibler les bons territoires

Avec notre outil, les pros peuvent :

  • Identifier les zones où les aides locales sont toujours actives,


  • Adapter leurs devis automatiquement en fonction des subventions disponibles,


  • Suivre l’évolution des politiques territoriales grâce à notre veille réglementaire intégrée,


  • Collaborer avec des partenaires territoriaux (délégataires CEE, ALEC, agences locales).


La rénovation ne s’arrête pas avec MaPrimeRénov’. Elle se déplace, se réorganise, se territorialise.

Conclusion : la rénovation rentable existe encore — mais elle se mérite

Le coup de frein national n’a pas stoppé la rénovation, il a simplement modifié la carte des opportunités.

Les entreprises les plus résilientes seront celles qui :

  • Ciblent les bons territoires,


  • Nouent des alliances locales,


  • Revoient leur stratégie commerciale,


  • Diversifient leurs offres et leurs circuits de financement.


Un contexte national de plus en plus tendu

L’annonce de la suspension de MaPrimeRénov’ au 1er juillet 2025 a secoué l’ensemble du secteur de la rénovation.

Avec un budget national déjà épuisé à mi-année, les artisans et entreprises RGE craignent une chute brutale de l’activité, notamment dans les zones périurbaines et rurales.

Mais la situation n’est pas homogène partout. Certaines collectivités et territoires ont :

  • Anticipé le désengagement de l’État,


  • Conservé des aides locales ou régionales dynamiques,


  • Mis en place des mécanismes relais (bonus, tiers-financement, appuis techniques).


Des zones où la rénovation reste rentable en 2025

1. Les régions les plus engagées : un effet amortisseur

Certaines régions comme l’Occitanie, les Hauts-de-France, ou l’Île-de-France ont mis en place :

  • Des aides cumulables avec MaPrimeRénov’ et les CEE,


  • Des primes régionales propres (pour rénovation globale, précarité énergétique, copropriétés),


  • Des partenariats avec l’Anah et les plateformes locales (France Rénov’, ALEC…).


 Pour les professionnels, cela signifie :

  • Des devis toujours compétitifs malgré la suspension nationale,


  • Une activité maintenue grâce aux relais locaux,


  • Moins de pression sur les marges.


2. Les zones ANRU et quartiers prioritaires

Les logements situés dans des Zones de Revitalisation Urbaine (ZRU) ou classés ANRU bénéficient souvent :

  • De majorations automatiques sur les CEE,


  • De parcours simplifiés avec Mon Accompagnateur Rénov’,


  • D’aides complémentaires via les collectivités ou les bailleurs sociaux.


C’est dans ces territoires que l’on observe les meilleurs taux de reste à charge zéro, avec une rénovation qui reste socialement utile et économiquement viable.

3. Les territoires à énergie positive ou en TEPOS

Les Territoires à Énergie Positive (TEPOS) et les communes labellisées “Petites Villes de Demain” ont :

  • Intégré la rénovation énergétique dans leurs stratégies globales,


  • Déployé des dispositifs de tiers-investissement,


  • Activé des fonds européens (FEDER, LEADER) ou régionaux.


   Cela crée un écosystème favorable aux artisans locaux, notamment sur des chantiers collectifs ou publics (bâtiments communaux, logements sociaux, etc.).

Ce que cela change concrètement pour les professionnels

1. Une stratégie géographique devient indispensable

Les entreprises du secteur ne peuvent plus se contenter d’une approche uniforme.

Il devient essentiel de :

  • Cibler les zones où l’écosystème d’aides reste actif,


  • Prioriser les chantiers dans les territoires soutenus par les collectivités,


  • Nouer des partenariats territoriaux (ALEC, mairies, EPCI…).


2. L’offre “MaPrimeRénov’ classique” ne suffit plus

Le devis “PAC + aide MaPrimeRénov’ + CEE” standardisé montre ses limites.

Place à des offres plus adaptables :

  • Rénovation globale en copropriétés,


  • Audit énergétique + phasage des travaux,


  • Location-vente d’équipements ou offres de tiers financement.


3. La rentabilité se construit sur plusieurs leviers

Aujourd’hui, une opération reste rentable si elle cumule :

  • CEE bonifiés,


  • Aides régionales ou locales,


  • Réduction du reste à charge grâce à des montages innovants,


  • Accompagnement fluide (accompagnateur, outils numériques, etc.).


Un enjeu politique sous-jacent : l’inégalité des territoires face à la transition

Le débat que cette situation soulève est plus large :

Peut-on encore parler de politique nationale de rénovation si son efficacité varie autant selon le code postal ?

Les disparités territoriales posent plusieurs problèmes :

  • Accès inégal aux rénovations performantes,


  • Fracture énergétique renforcée entre zones urbaines soutenues et campagnes isolées,


  • Incohérence stratégique face aux objectifs climatiques nationaux.


Ce sont les artisans et entreprises RGE qui subissent ce décalage au quotidien, avec parfois des carnets de commandes pleins dans une commune et vides dans celle d’à côté.

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