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Rénovation d’ampleur : l’ANAH redessine les priorités du marché
Tags SEO : rénovation d’ampleur, ANAH 2025, rénovation énergétique globale, MaPrimeRénov’ Sérénité, rénovation performante, audit énergétique, artisans RGE, aides travaux, accompagnateur rénov
24 juin 2025
Temps de lecture :
5 min
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Un virage stratégique assumé
Exit les “petits gestes” isolés financés à la chaîne. Désormais, l’effort national est clairement orienté vers les rénovations performantes, complètes et planifiées.
Ce virage s’est accéléré en 2025 avec :
Le recentrage de MaPrimeRénov’ Sérénité,
Le durcissement des conditions pour les gestes simples,
L’obligation de passer par un audit énergétique,
Et la montée en puissance du rôle de Mon Accompagnateur Rénov’.
Qu’entend-on par “rénovation d’ampleur” selon l’ANAH ?
L’ANAH définit une rénovation d’ampleur comme un chantier qui :
Concerne au moins deux postes de travaux importants (chauffage + isolation, par exemple),
Est encadré par un audit énergétique,
Vise un saut de deux classes minimum sur le DPE,
Est cohérent sur le plan thermique et énergétique,
Peut être phasé, mais reste globalement structuré.
Les projets subventionnés sont donc appelés à devenir :
Plus lourds,
Plus techniques,
Et surtout plus encadrés.
Ce que ça change pour les professionnels du secteur
1. Le modèle “volume rapide + petits gestes” devient obsolète
De nombreuses entreprises RGE se sont développées avec un modèle :
Basé sur des chantiers simples,
Portés par la demande spontanée de clients,
Et financés à 70 % ou plus par les aides (PAC, ITE, ballons ECS, etc.).
Ce modèle est en train de s’effondrer.
👉 Il faut désormais :
Travailler sur des devis plus complexes,
Coordonner plusieurs corps de métiers,
Accompagner le client tout au long d’un parcours plus long.
2. L’offre doit s’adapter à une logique d’audit + scénario
L’audit énergétique devient une boussole pour structurer l’offre.
Les entreprises doivent savoir :
Lire un rapport d’audit,
En extraire les scénarios de travaux prioritaires,
Y intégrer leurs propres solutions de manière cohérente.
Cela suppose des compétences nouvelles (analyse énergétique, pédagogie client, gestion de projet).
3. La relation client devient plus longue et plus stratégique
On ne vend plus une solution clé en main en une visite.
Il faut désormais :
Éduquer le client à la rénovation globale,
Justifier les choix techniques,
Travailler en lien avec l’accompagnateur Rénov,
Parfois gérer des étapes de financement, de validation, ou de priorisation.
Pour les entreprises : opportunité ou nouveau carcan administratif ?
Ce que disent les défenseurs du virage :
“On va enfin sortir du court-termisme et du bricolage énergétique.”
“Les vraies rénovations qui changent les factures et le confort, ce sont celles qu’on planifie.”
“C’est une opportunité de monter en gamme, de fidéliser les clients.”
Ce que disent les critiques :
“Encore plus de paperasse, encore moins de souplesse.”
“Les petites structures ne pourront pas suivre ce rythme.”
“Les audits sont trop chers et retardent les chantiers.”
Le débat est réel. Et la filière se fracture en deux :
Les entreprises qui montent en compétence et en structuration,
Celles qui risquent d’être écartées faute d’outils, de réseau ou de formation.
Où se concentrer en tant que pro en 2025–2026 ?
Les marchés prioritaires sont clairs :
Les logements F et G, visés par les obligations et les bonus d’aides,
Les rénovations groupées en copropriété,
Les parcours accompagnés en zone ANRU ou avec reste à charge réduit,
Les maisons anciennes avec fort potentiel d’amélioration thermique.
Ce sont ces chantiers que l’ANAH va continuer à financer prioritairement.
Le rôle d’ila26 : aider les pros à franchir le cap
Pour faire face à cette mutation, ila26 propose :
Un iCRM intelligent pour suivre les étapes complexes des rénovations globales,
Des modèles de devis conformes aux scénarios d’audit,
Une veille réglementaire sur les critères d’éligibilité MaPrimeRénov’/CEE,
Un accès rapide à des partenaires qualifiés (auditeurs, accompagnateurs, délégataires CEE).
L’ère des devis rapides et subventionnés à 90 % est peut-être derrière nous.
Mais celle des chantiers plus stables, mieux valorisés, avec un vrai pilotage… ne fait que commencer.
Conclusion : monter en gamme ou décrocher ?
La rénovation d’ampleur n’est pas un simple effet de langage.
C’est une réorganisation complète de la chaîne de valeur, pilotée par l’ANAH, soutenue par l’État, et bientôt exigée par les bailleurs, les collectivités, voire les notaires.
Ceux qui sauront :
Travailler en équipe avec les accompagnateurs,
Lire et valoriser les audits,
Structurer des parcours client de A à Z,
seront les nouveaux leaders du secteur.
Un virage stratégique assumé
Exit les “petits gestes” isolés financés à la chaîne. Désormais, l’effort national est clairement orienté vers les rénovations performantes, complètes et planifiées.
Ce virage s’est accéléré en 2025 avec :
Le recentrage de MaPrimeRénov’ Sérénité,
Le durcissement des conditions pour les gestes simples,
L’obligation de passer par un audit énergétique,
Et la montée en puissance du rôle de Mon Accompagnateur Rénov’.
Qu’entend-on par “rénovation d’ampleur” selon l’ANAH ?
L’ANAH définit une rénovation d’ampleur comme un chantier qui :
Concerne au moins deux postes de travaux importants (chauffage + isolation, par exemple),
Est encadré par un audit énergétique,
Vise un saut de deux classes minimum sur le DPE,
Est cohérent sur le plan thermique et énergétique,
Peut être phasé, mais reste globalement structuré.
Les projets subventionnés sont donc appelés à devenir :
Plus lourds,
Plus techniques,
Et surtout plus encadrés.
Ce que ça change pour les professionnels du secteur
1. Le modèle “volume rapide + petits gestes” devient obsolète
De nombreuses entreprises RGE se sont développées avec un modèle :
Basé sur des chantiers simples,
Portés par la demande spontanée de clients,
Et financés à 70 % ou plus par les aides (PAC, ITE, ballons ECS, etc.).
Ce modèle est en train de s’effondrer.
👉 Il faut désormais :
Travailler sur des devis plus complexes,
Coordonner plusieurs corps de métiers,
Accompagner le client tout au long d’un parcours plus long.
2. L’offre doit s’adapter à une logique d’audit + scénario
L’audit énergétique devient une boussole pour structurer l’offre.
Les entreprises doivent savoir :
Lire un rapport d’audit,
En extraire les scénarios de travaux prioritaires,
Y intégrer leurs propres solutions de manière cohérente.
Cela suppose des compétences nouvelles (analyse énergétique, pédagogie client, gestion de projet).
3. La relation client devient plus longue et plus stratégique
On ne vend plus une solution clé en main en une visite.
Il faut désormais :
Éduquer le client à la rénovation globale,
Justifier les choix techniques,
Travailler en lien avec l’accompagnateur Rénov,
Parfois gérer des étapes de financement, de validation, ou de priorisation.
Pour les entreprises : opportunité ou nouveau carcan administratif ?
Ce que disent les défenseurs du virage :
“On va enfin sortir du court-termisme et du bricolage énergétique.”
“Les vraies rénovations qui changent les factures et le confort, ce sont celles qu’on planifie.”
“C’est une opportunité de monter en gamme, de fidéliser les clients.”
Ce que disent les critiques :
“Encore plus de paperasse, encore moins de souplesse.”
“Les petites structures ne pourront pas suivre ce rythme.”
“Les audits sont trop chers et retardent les chantiers.”
Le débat est réel. Et la filière se fracture en deux :
Les entreprises qui montent en compétence et en structuration,
Celles qui risquent d’être écartées faute d’outils, de réseau ou de formation.
Où se concentrer en tant que pro en 2025–2026 ?
Les marchés prioritaires sont clairs :
Les logements F et G, visés par les obligations et les bonus d’aides,
Les rénovations groupées en copropriété,
Les parcours accompagnés en zone ANRU ou avec reste à charge réduit,
Les maisons anciennes avec fort potentiel d’amélioration thermique.
Ce sont ces chantiers que l’ANAH va continuer à financer prioritairement.
Le rôle d’ila26 : aider les pros à franchir le cap
Pour faire face à cette mutation, ila26 propose :
Un iCRM intelligent pour suivre les étapes complexes des rénovations globales,
Des modèles de devis conformes aux scénarios d’audit,
Une veille réglementaire sur les critères d’éligibilité MaPrimeRénov’/CEE,
Un accès rapide à des partenaires qualifiés (auditeurs, accompagnateurs, délégataires CEE).
L’ère des devis rapides et subventionnés à 90 % est peut-être derrière nous.
Mais celle des chantiers plus stables, mieux valorisés, avec un vrai pilotage… ne fait que commencer.
Conclusion : monter en gamme ou décrocher ?
La rénovation d’ampleur n’est pas un simple effet de langage.
C’est une réorganisation complète de la chaîne de valeur, pilotée par l’ANAH, soutenue par l’État, et bientôt exigée par les bailleurs, les collectivités, voire les notaires.
Ceux qui sauront :
Travailler en équipe avec les accompagnateurs,
Lire et valoriser les audits,
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